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Restaurant Grenoble - News - Restos Terrasses Grenoble

Restos Terrasses Grenoble

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Restos Terrasses Grenoble

news publiée Mercredi 13 juin 2012

news publiée Mercredi 13 juin 2012


Une ribambelle de terrasses de restos à arpenter sans modération

Il paraît qu’il y a des villes où le soleil est constamment présent. Et puis il y en a d’autres, comme Grenoble, qui après des hivers souvent rudes, donnent tout ce qu’elles ont dès les premières chaleurs venues. Alors le principe de la privation fonctionne à bloc. Il n’y a qu’à regarder les rues de notre chère cité alpine dès que les nuages capricieux s’estompent, c’est limite Alerte à Malibu. Sauf que comme la mer est loin, et Pamela Anderson plus très fraîche, ce sont les terrasses qui sont prises d’assaut par les belligérants de l’été, que ce soit le midi pour une bonne salade, ou le soir pour un apéro bien mérité.

Pendant quelques heures, une société utopique est recréée, où il n’y a plus d’employé ou de patron, où il n’y a plus de conflit droite-gauche, où tout le monde parle avec tout le monde, quelque soit sa marque de bière préférée ou sa pratique en terme de cuisson de viande. Une faille spatiotemporelle chaleureuse, sorte de savoureux bonheur avant de rejoindre la réalité millimétrée avec précision. Alors pourquoi se priver ?

Une ribambelle de terrasses de restos à arpenter sans modération

Il paraît qu’il y a des villes où le soleil est constamment présent. Et puis il y en a d’autres, comme Grenoble, qui après des hivers souvent rudes, donnent tout ce qu’elles ont dès les premières chaleurs venues. Alors le principe de la privation fonctionne à bloc. Il n’y a qu’à regarder les rues de notre chère cité alpine dès que les nuages capricieux s’estompent, c’est limite Alerte à Malibu. Sauf que comme la mer est loin, et Pamela Anderson plus très fraîche, ce sont les terrasses qui sont prises d’assaut par les belligérants de l’été, que ce soit le midi pour une bonne salade, ou le soir pour un apéro bien mérité.

Pendant quelques heures, une société utopique est recréée, où il n’y a plus d’employé ou de patron, où il n’y a plus de conflit droite-gauche, où tout le monde parle avec tout le monde, quelque soit sa marque de bière préférée ou sa pratique en terme de cuisson de viande. Une faille spatiotemporelle chaleureuse, sorte de savoureux bonheur avant de rejoindre la réalité millimétrée avec précision. Alors pourquoi se priver ?


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